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Durum
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Sortir Des Sentiers Battus (Acte 08)
Post #1
2ème étape de notre voyage "made in Africa" -- Folle nuit avec Sandia Résumé de l'acte I à VII Sylvie et Gérard sont mariés depuis de nombreuses années. Leur vie est paisible mais leurs relations sexuelles sont presque au point mort. Elle est chaude comme une allumette, lui est passif et peu enclin à la gaudriole avec son épouse. Madame peut choisir son cadeau d'anniversaire, Monsieur paie. Elle réserve donc, à l'insu de Gérard, deux semaines dans un gîte rural coquin dans la Drôme. Cette initiative réchauffe le couple, et les voilà partis pour le gîte rural, la fleur au fusil, pour remettre un peu de piment à leur existence, tenter de s'encanailler et s'en mettre plein la « lampe ». Sylvie a réussi son coup en se faisant baiser par le numéro 2 de l'administration du gîte. Le couple, plus uni que jamais, papillonne de gauche et de droite et brûle la chandelle par les 2 bouts. Les relations tant amicales que sexuelles avec la communauté du gîte s'intensifient. Bien que le couple papillonne de gauche à droite et se fait des overdoses de sexe, il reste uni et trouve le temps de se retrouver pour se faire du bien, du très bien même. Sylvie et Gérard on la soirée avec un couple d'Australiens et c'est la première fois que notre héroïne a des relations sexuelles avec une autre femme. Soirée folle programmée avec Sandia, notre magnifique Soudanaise, la nuit risque d'être longue. * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * Une réhydratation d'impose. Je vais chercher le plateau, les 3 verres et la bouteille de Moët & Chandon, dépose le tout sur une petite table d'appoint. Nos 2 coquins sont toujours allongés sur le lit, un peu vidés, mais loin d'être épuisés. Une bonne rasade de bulles glisse dans notre gosier, c'est l'eau de la fontaine de jouvence, notre EPO. Quelques petits canapés au saumon commandés en cuisine en début de soirée complètent ce souper. Un apport d'énergie nécessaire. Gégé, grâce à sa petite pilule bleue a toujours la trique braquée vers le ciel. Je vais m'occuper de lui. Je prends une bonne rasade de champagne, la garde en bouche et sans desserrer les lèvres introduit la bite de mon homme. C'est glacé, il frissonne de froid et de plaisir. Ce contact verge-champagne me procure bycasino une vive excitation et me pousse à pomper ce dard ferme et massif, sans avaler le précieux liquide. J'encourage Sandia à faire de même et venir me remplacer. Les bulles dans sa tête et ce sexe dur caressant sa langue et sa gorge rallume son feu, à peine éteint. Voyant cette petite salope onduler l'échine, je me rends compte qu'elle est loin d'être assouvie, ce qui n'est pas pour déplaire à notre matou de service. Nos trois corps se mélangent à nouveau. Sandia est à quatre pattes et Gérard, accroupi lui aussi lui écarte les fesses et lèche abondamment son petit trou. En alternance il y introduit sa langue et son index. Je devine son envie de visiter sa cave. Moi, ce sont ses nos lèvres qui m'attirent. Nous nous lançons dans une succession de baisers torrides. Je mouille comme une chienne en chaleur et la petite n'est pas en reste. Gégé est en position de tir, derrière le cul noir ébène de Sandia. Après avoir bien humidifié et lubrifié le petit trou, je le vois diriger sa bite vers la cible choisie et offerte, et s'y engouffrer lentement, progressivement, délicatement, entièrement. Notre petite perle est à peine surprise. Elle cambre ses reins et par petits mouvements rotatifs vient épouser et s'empaler sur le membre tendu de mon homme. Le plaisir de Gégé se lit dans ses yeux. J'aimerais être simultanément à la place de l'un et de l'autre. Prendre et recevoir. Enculer et me faire enculer à la fois. Une heure dans ma vie je voudrais être un homme. Toujours en embrassant fougueusement Sandia, je glisse ma main le long de son bas-ventre et découvre son petit clown. Impossible de le rater. Il dépasse largement sa vulve, il est dur, embrasé, exalté, fiévreux. En promenant mon index sur sa pointe, notre jeune femme de tord dans tous les sens, gémi, couine, halète. En poussant plus loin vers l'arrière, je croise la queue de Gégé, qui fore l'anus de notre invitée. Une petite caresse au passage est inévitable. Avec la bite de Gégé qui continue son va-et-vient entre les reins de Sandia, ma main qui exacerbe son petit bouton, il n'en faut pas plus pour lui faire prendre un pied géant et quels encouragements pour baiseur qui lui éclate le cul. Notre visiteuse se liquéfie sous les coups de boutoir de Gégé qui sonne l'hallali et inonde bycasino deneme bonusu de foutre l'arrière-train de Sandia. Mon triomphe est plus modeste, C'est ma petite main experte et fouineuse qui prend le relais et quelques caresses bien orientées dans mon entrecuisse m'envoient au paradis des branleuses. Une fois de plus, je suis trempe. Notre trio est muet, immobile, inerte. Une pause d'avère indispensable. Mais, progressivement, nos corps reprennent de la vigueur, nos langues se délient, nos visages affichent de larges sourires de satisfaction, mais c'est notre libido qui tient les rênes. Jambes et cuisses largement écartées, Sandia s'approche et me dit : - Je peux te lécher la foufoune? Elle rampe vers mon entrejambe pour me dévorer, me lessiver la moule avec sa petite langue rose et pointue. Visiblement, pour se réhydrater, elle préfère ma cyprine au champagne. Elle musarde partout. Du nombril à ma raie, en insistant bien sur mon petit clown, ma vulve béante et mon anus. C'est un régal. Je voudrais que cela ne s'arrête jamais. Ce n'est pas une femme qui me lèche et me suce, mais un essaim abeilles qui me butine. Gégé nous regarde avec beaucoup d'attention, d'intérêt et de désirs. Une heure dans sa vie je crois qu'il voudrait bien être une femme. La petite me machine avec une telle maestria qu'elle va sans aucune doute arriver à ses fins. Me faire jouir une nouvelle fois. Je m'accroche aux draps aux oreillers, secoue la tête de gauche à droite, tous mes muscles sont tendus. Seuls mes talons et mes épaules sont en appui, je suis en lévitation. J'ai des étoiles plein les yeux, ma respiration s'accélère, mon pouls bat la chamade, je vais me vider une nouvelle fois sous les coups de langue de Sandia. Ça frôle l'hystérie. - Ouiiiiiiiiiii!!! Tiens petite salope!!! Prends, bois-moi!!! Vide-moi!!! De ma vie de femme, je n'ai jamais vécu une telle succession d'orgasmes. C'est du délire. Suis-je normale? Il est temps de redescendre sur terre, de rassembler mes esprits. C'est bon le sexe, l'excitation, le désir, la jouissance, l'orgasme. Dans une prochaine vie je voudrais être un bonobo, oui, vous savez : Ces grands singes qui passent le plus clair de leur temps à s'envoyer en l'air. Quelques minutes plus tard nous nous retrouvons bycasino güncel giris tous les trois sous la douche, elle est exigüe, propice aux attouchements. Sa pomme diffuse un léger débit, tiède à souhait. Badigeonnés de gel, nous frottons notre partenaire le plus proche. Les mains se croisent, s'évitent, musardent dans des zones improbables et pas franchement endormies. Le moindre doigt curieux rallume le feu. J'ai l'impression d'avoir été sevrée pendant des mois. J'ai accumulé une telle quantité adrénaline, que la moindre étincèle fait de moi une bombe prête à exploser. Je crois que Sandia a un petit coup de c?ur pour le sexe de Gérard. Son regard et ses mains en témoignent. Il faut reconnaître que ce joujou a encore fière allure compte tenu des toutes ces récentes sollicitations, et ce n'est pas mon Gégé qui va dire « stop ». Les voir tous les deux se chercher, se tripoter, se caresser, se désirer, s'exciter me ravi et me stimule. Si Gégé décide de me trouer, devant ou derrière, je suis certaine que je jouirais une nouvelle fois. Nous quittons la douche, nous séchons mutuellement et retournons au champ de bataille. Par transmission de pensée, Gérard s'approche de moi, la bite à la main, et me met à quatre pattes. Il veut me prendre en levrette sous les yeux de Sandia. Il choisit ma vulve et s'y enfonce allégrement. Je ne reconnais pas mon homme ce soir, c'est une sexe-machine, il est increvable, quelle allure aura-t-il demain matin au petit-déjeuner. Je sens sa bite me pénétrer à fond. Elle est grosse et dure. J'aime me faire prendre de la sorte, surtout avec un public aussi sexy et charmant. - Sandia, viens m'embrasser, je veux ta bouche, ta langue!!! Elle s'approche de moi, me tend ses lèvres et nous repartons dans une séance de baisers interminable, tandis que mon homme continue de me besogner sans répit. L'érotisme est total, l'appétit incommensurable, le plaisir hors normes, la forme étincelante, l'ambiance torride, la complicité parfaite, la jouissance au top. Tous les voyants sont au vert. Mon Gégé donne le meilleur de lui-même, il est au bord de la rupture, de l'orgasme, mais sa semence est assurément modeste : une ou deux gouttes de sperme peut-être et beaucoup de « vapeur » La source est tarie. Quoi de plus normal, même ses deux brebis sont sèches comme des pruneaux d'Agen. Il est temps de se séparer. Sandia, comme Gégé et moi sommes épuisés, mais hautement satisfaits. La soirée a été d'un grand cru. A regrets notre perle noire nous quitte pour rejoindre discrètement ses pénates, acceptant l'enveloppe prête à son attention. Pour ce soir, la fête est finie. A suivre... |
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Alýntý |